Forums : Švajcarska

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Klizave banke. .
Knez-001
(®)
2009-09-05 05:17 PM
Die Zahl der Bankenpleite stieg in diesem Jahr auf 89.

Von den am Freitag geschlossenen Regionalinstituten war die Vantus Bank in Sioux City im Bundesstaat Iowa mit Vermögenswerten von 458 Millionen Dollar und Kontoeinlagen über 368 Millionen Dollar das grösste.

Probleme verlagern sich

Daneben schloss die Einlagensicherung FDIC die First Bank of Kansas City in Missouri, die First State Bank of Flagstaff in Arizona sowie in Illinois die InBank in Oak Forest und die Platinum Community Bank of Rolling Meadows.

FDIC-Chefin Sheila Bair hatte erst kürzlich davor gewarnt, dass es trotz der allmählichen Konjunkturerholung zu weiteren Bankenzusammenbrüchen kommen werde. Die Probleme verlagerten sich vom Hypothekenmarkt und von Abschreibungen auf komplexe Wertpapiere zunehmend auf Ausfälle im konventionellen Kreditgeschäft mit Privat- und Geschäftskunden.

Die grösste Bankenpleite in den USA war der Kollaps von Washington Mutual vor einem Jahr.
(sda/weis)
Knez-001
(®)
2009-09-05 05:20 PM
89 banaka, iz akojih stoji mnogo veci broj firmi koje one opsluzju...
Iza tih banaka stoje državne institucije.
Stoje mali i srednji ulagaci.
I obični mali ljudi...
89 banaka, tri meseca, svaki dan jedna banka ZATVORENA.
rizling
2009-09-05 10:18 PM

može im se,

kažu da ameri imaju 9000 banki?
rizling
2009-09-06 02:00 AM

Ovdasnji bankari, savetuju da se prodaju americki vrednosni papiri.
predvidjaju da će dolar još gubiti na svojoj vrednosti i komplikovane situacije sa fiskom.i. A oni sami se plase da putuju u USA.

PRUDENCE
La fin du rêve américain

Image © Keystone

Les banquiers suisses hésitent de plus en plus à faire le voyage des Etats-Unis

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Ne plus voyager aux Etats-Unis, renoncer aux titres américains ou tout simplement éviter d'investir outre-Atlantique: les appels à tourner le dos aux USA se multiplient au sein du monde financier suisse

Philippe Miauton - le 05 septembre 2009, 21h37
Le Matin Dimanche

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La conclusion entre les Etats-Unis et la Suisse d'une entraide administrative dans le cadre de l'affaire UBS n'a pas mis fin à la crainte que suscite le fisc américain. Bien au contraire. Le microcosme de la finance s'inquiète sérieusement. Notamment en raison de la coopération fiscale qu'impose désormais Washington.

Voyages déconseillés, titres américains boudés, investissements remis en cause : cette longue liste traduit le malaise qui règne au sein du monde bancaire. C'est toute une profession qui vire sa cuti en tournant le dos aux Etats-Unis. Tour d'horizon.

La semaine dernière, la banque saint-galloise Wegelin & Co a ouvert les feux. Dans un commentaire d'investissement, publié sur son site et dévoilé par Le Temps, la banque recommande à sa clientèle de vendre ses titres américains pour s'éviter tout problème.

La révision du droit de succession américain constitue le noeud du problème. A l'avenir, l'impôt sur les successions devrait être exigible, non seulement auprès des citoyens américains, mais aussi auprès des étrangers, notamment les détenteurs de titres américains. Pour la banque, le risque de rendre une déclaration erronée au fisc serait désormais trop grand.

Dénonciations pour éviter la prison
Jeudi, sur la TSR, Konrad Hummler, le président de l'Association des banquiers privés suisses, a avoué qu'il ne voyageait plus aux Etats-Unis. « Je constate une certaine agressivité du système américain », a expliqué celui qui officie également comme associé et directeur de la banque Wegelin. Cette dernière est concernée par l'affaire d'aide à la fraude fiscale touchant la Neue Zürcher Bank, qui fait l'objet d'une plainte outre-Atlantique.

C'est bien là où réside le problème. Les banquiers craignent désormais d'être piégés dans une garde à vue à New York. En effet, beaucoup d'Américains qui ont fraudé le fisc pourraient être tentés de se dénoncer aux autorités et de livrer les noms de ceux qui les ont conseillés, afin d'éviter la prison. Une probabilité avec laquelle les banquiers ne semblent pas vouloir jouer.

Finalement, dans sa chronique hebdomadaire du Temps, Béat Kappeler, pourtant un thuriféraire du modèle néolibérale, invite ses lecteurs à cesser d'investir aux Etats-Unis. Selon lui le dollar va plonger et l'endettement de l'état nord-américain fera augmenter la pression fiscale sur tout engagement financier ou entrepreneurial. « Dorénavant, on peut gagner plus ailleurs... », souligne-t-il. Les signes ne trompent pas c'est tout un pays qui s'apprête à tourner le dos aux Etats-Unis.



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